Gautier Van Lieshout
À seulement 23 ans, Gautier Van Lieshout présente déjà de brillantes références. En 2017, son travail « Le Temps des Femmes », présenté à l’occasion de plusieurs expositions parisiennes, a montré les diverses facettes de son talent. Ce créateur d’images, qui se dédie essentiellement à la transmission d’émotions avec un travail en noir et blanc, apprécie avant tout les projets ambitieux. Son précédent thème mettait la femme au centre des relations sociales, politiques, humaines… L’actualité démontre la pertinence de sa sensibilité et de ses points de vue.
« New Humans » se place aussi parmi ses aventures photographiques audacieuses, voire périlleuses : décrire les désirs, les attentes et les incertitudes des personnalités du monde d’aujourd’hui. Ce, en prenant des positions provocatrices, au risque de déstabiliser. Une attitude qui montre bien l’attention qu’il porte aux photographes qui l’ont influencé : citons Helmut Newton, David Lachapelle ou Bettina Rheims.
Son projet préparé sous ses différents angles, il fédère autour de lui les partenaires qui lui permettront de construire les univers qu’il met en scène. Passionné par le studio, il élabore ses personnages avec acteurs, maquilleurs, etc.
Ce travail en équipe constitue un élément central de sa recherche et un fondement de son talent. Auteur avant tout, cet environnement permet d’alimenter sa créativité, de valider et de faire évoluer ses concepts, d’affiner sa vision. Pour sa part, il se réserve l’éclairage, la pose, la prise de vue, le traitement des images et la mise en espace.
Cette méthode porte ses fruits. Outre les accrochages aux cimaises et les commentaires des critiques, en juillet 2020, le magazine Photo le publie pour la création d’une photo extraite d’un travail personnel ; ce mensuel le reconnaît ainsi pour la seconde fois parmi les 100 premiers photographes de la sélection de l’année. Ses expositions ont été relatées par Normal Magazine. Depuis, Vogue Italie et le site suédois 1x publient sa production.
Pour ce connaisseur des arts, – cinéma, théâtre -, la photographie se révèle être la synthèse des moyens d’expression. Elle lui permet de concevoir un message fort, d’en explorer les variations, de rassembler les énergies, de produire ses vecteurs d’émotions en grands formats, puis de toucher de larges publics. Une mécanique au service d’un regard.
Aujourd’hui, Gautier Van Lieshout axe ses recherches sur le domaine de la santé. Il participe en 2019 à une exposition collective, « Pour Line », projet qui met en lumière une femme atteinte d’un cancer du sein. Suite à cela, le groupe Merck Santé France lui confie en 2020 une campagne baptisée « Sclérose en Plaques et maternité » projet qu’il mènera avec 11 jeunes mamans qui se battent avec leur maladie.
Angelo Di Tommaso
J’ai commencé à photographier en 1990, après un cours d’éducation à l’image au cours du collège ; presqu’immédiatement, je découvre la chambre noire où je développe et tire mes photos en noir et blanc.
En 1991, je m’inscris à la FIAF (Fédération Italienne des Associations Photographiques), à la FIAP (Fédération Internationale d’Art Photographique), en 1994, à PSA (Photographic Society of America), en 1997 à l’ISF (Image Sans Frontières) et en 1999 au Photoclub Image de Rome. Depuis 1993, je participe régulièrement à des compétitions photographiques à la fois en Italie, en France et à l’étranger avec de bons résultats : 1500 acceptations et 200 récompenses et nominations.
- APSA (membre actif de P.S.A.) en 1996
- Responsable secteur jeunes I.S.F. 1998-2001
- A.F.I. (Artiste de la Photographie Italienne) en 2000
- AFIAP (Artiste de la Fédération Internationale d’Art Photographique) en 2012
- EFIAP (Excellence de la Fédération Internationale d’Art Photographique) en 2014
- EFIAP/b (Excellence de la Fédération Internationale d’Art Photographique niveau Bronze) en 2017
- EFIAP/s (Excellence de la Fédération Internationale d’Art Photographique niveau Argent) en 2019
- AFPF et EFPF (Artiste et Excellence de la FPF) en 2020
- EFIAP/g (Excellence de la Fédération Internationale d’Art Photographique niveau Or) en 2020
- Ambassadeur FPF en 2021
Dans les premières années de photo amateur, je me suis consacré à la photographie de paysage et au reportage, jusqu’à ce que je me découvre une passion pour l’art du portrait et du nu artistique.
Une de mes photos a été sélectionnée pour la réalisation du calendrier de la FIAF 1996.
Mon travail a été publié par les plus importants magazines photo italiens et français (Fotografia Reflex, Fotografare, Tutti Fotografi, Progresso Fotografico, Chasseur d’images, Réponses photo) et dans plusieurs livres publiés par la FIAF.
En 1997, je rentre dans le « Who’s Who in photography PSA » et certaines de mes photographies font partie des archives historiques de la FIAF, I.S.F, FPF et privées.
J’ai à mon actif une cinquantaine d’expositions solo et une centaine d’expositions collectives. De 2001 à 2006, je participe à la PSA « Portfolio européen » et en 2003 je suis invité à présenter ces photos en France au « Salon 24 d’Eté » à Le Lonzac (Corrèze) en tant qu’invité d’honneur. En 2009, j’expose de nouveau mes photos aux
« Rencontres internationales de photographie de Gayant » à Douai, toujours en tant qu’invité d’honneur.
En 2010, avec des amis, je fonde le club photo Fotoamatori Sangro Aventino en Italie dont j’ai été président jusqu’en mai 2014 ; très vite le club devient l’un des plus importants d’Italie, nous organisons des salons de niveau national et international.
En juin 2014, je commence une nouvelle aventure dans ma vie en déménageant en Meurthe et Moselle. Je m’inscris tout de suite au club SNCF Yutz Thionville et à la FPF ; en 2016 je rejoins le prestigieux groupe GEPHO (Groupe Européen de PHOTOgraphes).
Valérie Simonnet
Je suis une photographe urbaine. Si mon univers est urbain c’est qu’il est essentiellement humain. Le rapport entre l’homme et son univers source d’exils et d’écrasements me touche particulièrement. Je m’interroge sur le monde que nous nous sommes construit et ne le trouve pas toujours à notre mesure. Je ne crois pas à l’objectivité photographique. La vérité que je tente d’approcher n’est assurément pas celle du monde mais beaucoup plus modestement la mienne. On a qualifié mes images de paysages intérieurs et c’est probablement la définition que je préfère de mon travail. Chaque image n’a d’autre finalité que de tenter de faire passer, d’amener sous mes yeux une émotion, une pensée, un sentiment intérieur. La seule vérité que je recherche est une justesse par rapport à moi. Ne pas tricher avec ce que l’on est, c’est déjà une aventure plus que difficile et qui curieusement permet d’aller à la rencontre des autres. Mon Paris proche et lointain se voudrait intemporel.
Je suis photographe depuis toujours mais j’expose depuis 2008.
http://www.simonnetvalerie.fr/
Instagram: @simonnetvalerie
Expositions récentes
- Nos paris, galerie des photographes, juin 2021
- Voyageuse d’hiver, Librairie d’Odessa, juin 2021
- La tentation de la chair, Festival Phémina, septembre 2020
- Ma vie en 16/9, Crypte St Merry, été 2020
- Somewhere, Galerie Hillemand Paris, mars 2020
- Escape game, festival Les photographiques du Mans, mars 2019
- Polar, librairie Odessa, juin 2017
- Au-delà du regard, Galerie du Montparnasse, novembre 2016
- Admiration, Fiap Jean Monnet, novembre 2014
- Défaites, Galerie du Montparnasse, décembre 2012
- La chute, Nuit blanche, juin 2011
- Espace partagé, Science-Po urbanisme, novembre 2010
- Le Temps suspendu, Apollo, janvier 2010
- Moderne solitude, Apollo, octobre 2008
- Dissolution, Centre culturel Marc Sangnier, novembre 2008
Publications
- Voyageuse d’hiver, auto-édition, avril 2021
- Peut-il y avoir un nu féminin ? Conférence, octobre 2020
- Openeye, numéro hors série, septembre 2020
- Ma vie en 16/9, auto-édition, mai 2020
- Qui a peur des femmes photographes, édition la route de la soie, juin 2018
- Niepcebook n°8, Corridor éléphant, mai 2018
- Revue Ornata, numéro 3, mars 2017
- La rue parle, Provocateur, octobre 2016
- L’image de soi, Ecole Ganenou, juin 2011
- Pluie, Déclic magazine, 14 pages, février 2010
- Bhoutan, Bout du monde, mensuel de voyage, juin 2008
- Ladakh, Bout du monde, mensuel de voyage, septembre 2008